Témoignage Vidéo du Professeur Konstantin Beck : Baisse de la Natalité et Augmentation de la Surmortalité en cours pour la Suisse depuis 2022.

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Lors d’une présentation vidéo le 22 juin 2023 pour le « Town Hall Meeting » de l’organisation « Doctors for Covid Ethics » (https://doctors4covidethics.org/) le professeur de l’Université de Lucerne Konstantin Beck a partagé les résultats de son analyse des données statistiques officielles concernant les naissances et la mortalité en Suisse depuis le début de la pandémie du Covid.

Alors que le 14 septembre 2023 le journal anglais le Guardian a faisait état d’une augmentation du nombre de morts-nés en Angleterre (« Augmentation des morts nés en UK : Une première depuis 7ans ! ») (https://www.theguardian.com/lifeandstyle/2023/sep/14/stillbirths-in-uk-rose-in-2021-for-first-time-in-seven-years) il nous semble maintenant particulièrement pertinent de partager cette étude du Professeur Beck (https://www.unilu.ch/fakultaeten/wf/professuren/prof-dr-konstantin-beck/#tab=c101767).

Sur Odysee (avec sous-titres français) :

Sur le site de Doctors for Covid Ethics :

Nous vous proposons ici les points principaux de son analyse :

• Baisse du taux de naissances historique depuis 100 ans en 2022 comparé à la moyenne 2015-2021.

Cette baisse semble perdurer jusqu’au premier trimestre 2023. Cette baisse est également documentée par la ville de Zürich (16%) ainsi que la CSS Assurance (10,7%), selon les données du Prof. Beck.

• Cette baisse de naissances semble corrélée à la vaccination avec un décalage de 9 mois.

Prof. Beck démontre qu’en 2022 les mois marqués par les plus fortes baisses de natalité sont précédés de 9 mois par les mois en 2021 où les femmes se sont faites le plus vacciner. Il faut bien se souvenir que corrélation n’est pas causalité.

Néanmoins, le Prof. Beck dit que cette corrélation est réelle et serait un signal qui devrait être enquêté (simple coïncidence ou lien de causalité véritable ?). Selon le chercheur les explications alternatives souvent citées semblent peu probables (situation économique, incertitudes liées au futur, rebond du « Baby Boom » de 2021, taux d’avortement, impact des infections Covid-19 sur la fertilité) . Il met à jour également des données hospitalières suisses disponibles qui indiqueraient une augmentation des complications liées aux accouchements. Serait-ce en lien avec la baisse de naissances ?

• Le Professeur Beck mentionne que la notice du Spikevax (vaccin Covid-19 Moderna) aurait dû mettre tout le monde en garde.

Dans la video, il y traduit en anglais la notice du produit en allemand où Moderna déclare étrangement que les effets de son vaccin sur les femmes enceintes sont inconnus, que le vaccin n’est pas recommandé aux femmes allaitantes, mais qu’il est fortement recommandé aux femmes enceintes! Rappelons-le, cette notice insensée a été validée par Swissmedic.

• En 2021, 45 enfants âgés 0-14 ans sont morts de CODE ICD-10 (embolies pulmonaires, arrêt cardiaques, attaques cérébrales), soit 25 de plus que la moyenne 2016 à 2020.

Pour information, il n’y a eu que 4 décès de personnes agées entre 0 et 19 ans à cause du Covid depuis le début de la pandémie jusqu’au 19 avril 2022 (OFSP, https://dc-covid.site.ined.fr/fr/donnees/suisse). S’il y a eu si peu de décès «Covids» pour ces personnes sur pratiquement 3 ans, à quoi d’autre serait due cette augmentation ?

• Le Professeur Beck découvre que L’Office Fédéral de la Statistique (OFS) a mystérieusement modifié la surmortalité auprès des personnes âgées 0 à 64 ans pour l’année 2022.

Le résultat est une sous-estimation de la surmortalité 0-64 ans qui conduirait à la conclusion erronée qu’il n’y a pas eu plus de morts en 2022 dans cette catégorie que d’habitude. Mais selon le chercheur, comme nous le verrons plus bas, c’est loin d’être le cas.

Pour rappel, la surmortalité c’est la comparaison du nombre, pour une même année, de décès enregistrés dans les statistiques avec le nombre de décès prévus.

Comment prévoit-on la mortalité en Suisse ? Notre pays démontre depuis 10 ans environ une tendance de la mortalité qui est en baisse. En termes très simplifiés et à titre d’estimation grossière, pour prévoir la mortalité d’une année en particulier on enlève 1.3% de la mortalité de l’année précédente. Ceci est dû au fait que la mortalité de la population suisse 0 à 64 ans diminue plus ou moins régulièrement chaque année d’à peu près 1.3% (en tout cas depuis 2010).

C’est ici que les choses deviennent étranges. Contrairement à l’habitude d’enlever 1.3% de la mortalité de 2021 afin de prévoir la mortalité 2022, le professeur Beck démontre dans sa vidéo que l’OFS a soudainement augmenté celle-ci de 12%! Résultat : la surmortalité semble basse en 2022. Toutefois, en refaisant le calcul par rapport à une prévision de mortalité basée sur une diminution normale de 1.3%, le chercheur démontre que la surmortalité 2022 marque en effet une augmentation inquiétante.

L’OFS aurait une raison pour laquelle il s’attende à plus de décès en 2022 ? Nous n’avons pas trouvé de réponse, et à ce stade nous ne les avons pas encore contactés. Étrange néanmoins, alors qu’officiellement la pandémie et ses morts en 2020 et 2021 seraient derrière nous.

• Le Professeur Beck montre dès lors que la surmortalité aurait augmenté en 2021 et 2022 auprès des groupes d’âge 0 à 19 ans et 20 à 39 ans.

Ces augmentations, basées sur des prévisions de mortalité de 2022 réalistes, sont importantes et significatives et se poursuivraient en 2023. Malgré le vaccin, les décès « Covid » aussi ont augmenté en 2021-2022 auprès des personnes âgées de 20 à 39 ans. Cependant, ce nombre de décès « Covid » dans cette catégorie d’âge est loin de pouvoir rendre compte de tous les décès excédentaires durant cette même période. Donc, une fois de plus, à quoi serait due cette augmentation ?

Aucune commission de recherche n’a été mise en place par le gouvernement Suisse à ce jour, même si désormais certains pays tels que l’Angleterre, l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou encore l’état américain de la Caroline du Sud enquêtent à ce sujet.

L’OFSP dans ses recommandations sanitaires automnales valables à partir du 2.10.2023 inclut désormais (enfin !) la mention d’effets indésirables liés à la vaccination (très rares !). Myocardites et péricardites — précédemment occultés, sinon traités avec ridicule — sont maintenant reconnus (Point 2.3, page 12 des recommandations de l’OFSP). Par contre Viviane Cuendet partage ceci à ce sujet pour 2021 :

Le 3 octobre en France, le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau professeur d’histoire de formation, déclarait sur France-Inter « qu’il n’y a pas d’effets secondaires de la vaccination Covid-19 » en guise d’incitation pour lancer la nouvelle campagne de vaccination Covid-19. Les récents sondages documentent une méfiance totale des français déjà vaccinés concernant le rappel de la vaccination et le désespoir des autorités est palpable. Le couronnement des efforts de « sensibilisation » du ministre est qu’Il est désormais visé depuis le 6 octobre par une plainte à la CJR pour tentative d’escroquerie au consentement à la vaccination Covid-19.

En Suisse, une « probable efficacité envers les effets graves liés à une infection sur une durée d’environs 6 mois » reste le dernier argument de « vente » pour convaincre les moins sceptiques à se faire injecter de l’ARN. En parallèle, les femmes enceintes sont encore dans le collimateur, études scientifiques à l’appui. Affaire à suivre. Mais n’oublions pas tout de même : aucune étude de sûreté vaccinale les concernant n’existait début 2021, et donc l’encouragement du moment des autorités auprès de celles-ci à se faire injecter demeure un épisode médico-légale sombre à éclaircir impérativement.

Actions Suisse estime qu’il est important de continuer à évaluer l’efficacité et les conséquences des mesures anti-pandémiques mises en place dans notre pays ces trois dernières années.

🇨🇭 t.me/ActionsSuisse/1296