S’il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark que dire à propos de la France de Macron ? Au-delà du grotesque, de la déroute financière, de la faillite morale de ce pays, il faut y rajouter la suspicion de meurtres d’Etat ! Retour sur le décès subit de contempteurs de Micron le petit.

Une forme éclatante pour son âge

Le 11 mai dernier, les médias indépendants ont largement fait échos au décès du général Dominique Delawarde, qualifié de « général factieux » par la bienpensance au pouvoir en France, général retraité devenu célèbre et sulfureux pour avoir répondu à Claude Pasternak, journaliste de CNews, qui le pressait de dire qui ? mais qui est cette minorité contrôlant selon les propos du général la meute médiatiaque, ce à quoi notre militaire taquin a répondu avec un sourire mi-narquois, mi-ironique : « … la communauté que vous connaissez bien ! » Et ce fut parti, mon quiqui, pour une fameuse chasse au Delawarde au nom de tout ce que voulez à caractère moral selon le canon actuel. Et notre général – qui n’était pas en reste lorsqu’il s’agissait de débusquer les éléphants sous le tapis de la République – est mort  d’un AVC foudroyant. Et il n’était pas vacciné contre le dernier coronavirus à la mode. C’était un homme d’une forme éclatante pour son âge. Va pour l’AVC même s’il est permis de douter.

Un connaisseur des arcanes discrètes de la politique internationale

Le doute … les doutes sont bien plus pesant en ce qui concerne la mort d’Éric Denécé par suicide, le 9 juin dernier. Cet ancien du renseignement français, connu pour son interprétation éclairée, étayée et renseignée du contexte géopolitique général et des mensonges de la macronie en particulier  aurait été retrouvé dans sa voiture, selon certains témoignages, à Paris, une arme à feu à son côté, un fusil selon les témoignages de proches. Le plus étrange tient au fait qu’Éric Denécé ne vivait pas à Paris mais en Bourgogne et s’était rendu, le jour de son décès, dans la capitale afin de participer à une conférence. Il aurait donc pris sa voiture, fait deux heures de route et, puisqu’il était un peu en avance, en aurait profité pour se suicider vite fait !!! Il n’était pas suicidaire selon le témoignage de son entourage. Ses très larges connaissances des arcanes discrètes de la politique internationale et son analyse perçante de la situation actuelle manqueront cruellement à la presse indépendante.

Soupçon de rétro-commissions

Autre scénario mais pareils doutes quant au prétendu suicide du député Olivier Marleix par pendaison à son domicile d’Anet. M. le député s’était  fait connaître pour sa pugnacité dans le dossier de la vente quasi frauduleuse d’Alstom et de son démantèlement. Les faits remontent à 2015. En 2019, Olivier Marleix, en tant que président de la commission d’enquête parlementaire sur la politique industrielle de la France, saisissait le parquet financier à propos de la vente d’une grande partie d’Alstom au géant américain General Electric, vente orchestrée par Emmanuel Macron alors ministre de l’économie, futur candidat à la présidentielle. Il était donc question de rétro-commissions afin de financer la campagne du futur Micron Ier.

Et un chirurgien plasticien par la fenêtre !

Le tableau des meurtres par barbouzerie ne serait pas complet s’il n’y avait le bon vieux gag du « suicide par défénestration » ! Bingo et le vainqueur  est – si l’on ose dire ainsi – François Faivre, chirurgien esthétique discret quoiqu’assez connu dans le microcosme parisien. Il travaillait entre autres avec le grand spécialiste de la féminisation de patient/e/ ?/s après transition de genre Patrick Bui, le même Patrick Bui qui se serait chargé de quelques menus travaux de réfection sur la personne de Brigitte Macron et qui, de plus, a même reçu la légion d’honneur il y a peu (Mme Macron devait être très contente). François Faivre était, selon le témoignage de sa sœur, sur le point de donner une interview choc à un magazine à scandales ; on pense à Closer évidemment ! M. Faivre n’était, lui non plus, pas connu pour être suicidaire.

Des à-fonds de fin de règne

Y aurait-il la volonté de la part de Micron Ier de faire un grand ménage avant son départ du trône présidentielle en 2027 ? Faire disparaître les chaussettes sales et autres slips foireux métaphoriques ? Si ça n’est pas le cas, ça y ressemble. La France a déjà connu ce genre d’ à-fonds par le vide à la fin du règne de pharaon Tonton, François Mitterrand qui aurait même fait dessouder Coluche en 1986 et s’éviter ainsi la concurrence de l’humoriste candidat à la présidentielle de 1988 au premier tour. Sans le vote des électeurs de Coluche, Mitterrand risquait de ne pas participer au second tour ! Quoiqu’il en soit, affaire à suivre. J’en profite pour déclarer que ni moi ni personne de la rédaction d’Actions-Suisse.ch n’est suicidaire en dépit de toutes les embrouilles auxquelles nos luttes nous ont exposés.